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En savoir un peu plus sur les Huiles essentielles et l'Aromathérapie
Le terme " Aromathérapie "
a été créé en 1928 par un pharmacien français, René-Maurice Gattefossé.
Il désigne l’utilisation des aromates c’est-à-dire des plantes aromatiques dont on extrait les huiles essentielles.
Qu’est-ce qu’une huile essentielle ?
Une huile essentielle est l’essence volatile extraite de plantes aromatiques
par la distillation par entraînement à la vapeur d’eau.
Qu’est-ce que l’aromathérapie ?
L’aromathérapie est l’utilisation des huiles essentielles pour l’harmonisation de la santé physique et mentale.
On utilise les huiles essentielles pour renforcer le processus naturel d’auto-guérison.
C’est une méthode naturelle qui repose sur l’activité des molécules biochimiques des huiles essentielles.
Qu’est-ce que l’aromathérapie scientifique?
L’aromathérapie scientifique ou aromatologie est l’étude des huiles essentielles,
c’est une science qui recourt à une méthodologie rigoureuse et se base sur des données scientifiques solides,
confirmées par le laboratoire. La relation intime qui unit la structure chimique
et l’activité d’une huile essentielle constitue le fondement de l’aromathérapie scientifique.
Les critères de qualité des huiles essentielles doivent donc être établis en fonction
de leur impact sur la composition chimique idéale et intégrale des essences telles que la Nature les a conçues.
Critères de qualité 
La récolte et le mode de culture :
Un des critères de qualité d’une huile essentielle est le soin apporté à la récolte.
Le mode de culture influence grandement la qualité des huiles essentielles
Choix des plantes
Seules les huiles essentielles provenant de plantes cueillies à l’état sauvage ou cultivées
- biologiquement devraient être utilisées en aromathérapie.
Seules les plantes saines de l’espèce recherchée doivent être récoltées. - Mode de cueillette
De préférence, les plantes doivent être cueillies à la main. - Cette méthode est plus écologique et permet d’obtenir des huiles essentielles de meilleure qualité.
- Provenance (région d’origine)
Il en est des huiles essentielles comme des vins ! Il y a de grands crus d’huiles essentielles comme il y a de grands crus de vins ! - Aussi, le terroir où a poussé une plante détermine en grande partie la qualité de l’essence qu’elle produit.
- Période de la journée
La qualité de l’essence d’une plante varie en fonction de la période de la journée où elle est récoltée. - Ainsi, la lavande sauvage et les roses doivent être cueillies le matin après la rosée
- et le thym, de préférence l’après-midi.
Distillation et autres méthodes d’extraction des huiles essentielles - La majorité des huiles essentielles est obtenue par distillation
- à la vapeur d’eau, sans détartrant chimique et sous basse pression.
Le procédé consiste à faire traverser une cuve
- remplie de plantes aromatiques par de la vapeur d’eau.
La vapeur d’eau extrait l’essence de la plante et forme avec elle un mélange gazeux homogène. - A la sortie de la cuve et sous pression contrôlée, la vapeur d’eau enrichie d’huile essentielle
- traverse un serpentin et se condense. Le liquide aboutit dans l’essencier (vase florentin)
- où l’huile essentielle de densité inférieure à celle de l’eau (<1)
- flotte sur l’eau de distillation (hydrolat) et se recueille par débordement.
- Autre mode d’extraction : L’enfleurage
L’enfleurage est habituellement réservé aux fleurs qui contiennent de très faibles concentrations en essences (jasmin, mimosa…). - Les fleurs sont mises au contact de graisses absorbantes qui se saturent progressivement en essence.
- Les pommades ainsi préparées sont employées telles quelles ou épuisées par l’alcool absolu.
- On obtient ainsi des extraits alcooliques aux fleurs appelés " absolues ".
Rendements, quelques exemples : Pour obtenir 1 kg d’huile essentielle, il faut :
- 7 kg de boutons floraux de clou de girofle (Eugenia caryophyllus)
- 50 kg de lavandin (Lavandula reydovan)
- 150 kg de lavande vraie (Lavandula angustifolia)
- 1 tonne d’immortelle (Helichrysum italicum)
- 4 tonnes de pétales de Rose de Damas (Rosa damascena)
- 5 à 10 tonnes de mélisse citronnelle vraie (Melissa officinalis)
Espèce botanique
Les huiles essentielles doivent impérativement provenir de plantes botaniquement certifiées
c’est-à-dire identifiées par leur nom scientifique, en latin.
Ex : Eucalyptus radiata (Eucalyptus radié)
L’aromatologie est une science qui se fonde sur des connaissances botaniques précises.
La méconnaissance et le non respect de ces précisions laissent la porte ouverte aux abus
et aux effets secondaires et/ou toxiques. Pour ces raisons, il est indispensable de suivre
la dénomination scientifique latine au détriment d’un langage imprécis et parfois trompeur.
La " famille " est la catégorie qui rassemble un groupe de plantes apparentées.
Le " Genre " est la catégorie qui rassemble un groupe d’espèces à caractéristiques très proches.
L’ " Espèce " est la catégorie qui englobe des plantes très proches avec des caractéristiques bien spécifiques.
La " Sous-espèce " est une division à l’intérieur des espèces.
La " Variété cultivée " (ou cultivar) est une plante cultivée pour ses caractéristiques uniques et spécifiques.
Elle exprime une variante de nature spontanée à l’intérieur d’une même espèce
L’" Hybride " est une plante issue du croisement entre les variétés, les variétés cultivées et les espèces.
la notion de Chémotype
En fonction du biotope (ensoleillement, climat, composition du sol, altitude...), une même plante peut sécréter des essences biochimiquement très différentes. Ces variations de composition biochimique des huiles essentielles engendrent la notion de chémotype (CT)
Deux chémotypes de la même huile essentielle présenteront non seulement des activités différentes mais aussi des toxicités très variables.
Exemple
Thymus vulgaris CT thujanol :
*Très sûr d’emploi, bien toléré par la peau
Thymus vulgaris CT thymol
*Dermocaustique et hépatotoxique à doses élevées et prolongées.
La non-connaissance de cette distinction entre divers chémotypes et le manque de précision dans l’identification de certaines huiles essentielles laissent la porte ouverte aux incidents reliés à leur toxicité et aux échecs thérapeutiques.
Quelles sont les précautions à prendre pour les femmes enceintes ?
Très peu de travaux scientifiques ont été consacrés à l’étude des risques abortifs des molécules aromatiques. Seuls les cétones terpéniques et les molécules aromatiques œstrogène-like (comme l’anéthol présent dans les huiles essentielles d’anis, de badiane ou de fenouil) sont clairement interdites durant la grossesse.
En général Pranarôm adopte une position claire vis-à-vis de l’utilisation d’huiles essentielles durant la grossesse : nous préconisons de ne pas recourir à l’utilisation d’huiles essentielles durant les trois premiers mois de la grossesse. Par après nous considérons qu’il est souhaitable d’en limiter le plus possible l’usage à des soins pointus, de courte durée, et proposés par des personnes de confiance maîtrisant parfaitement les profils des huiles essentielles proposées (thérapeutes, pharmaciens aromatologues, ...). Ce point de vue est guidé par un simple principe de précaution suite au manque d’informations fiables sur le sujet.
A partir de quel âge peut-on appliquer des huiles essentielles sur des enfants ?
De nouveau une question face à laquelle la réponse laconique « Ca dépend » peut être de mise ! Car cela dépend en effet du type d’huile essentielle, du vecteur dans lequel elle est incluse et de sa concentration finale dans le produit.
Soyons toutefois un peu plus clairs ! Déjà chez le nourrisson (à partir de l’âge de 1 à 2 mois) on peut appliquer des huiles de massage enrichies par des huiles essentielles calmantes, digestives ou expectorantes et balsamiques. Dans ce cas la concentration finale en huiles essentielles ne dépasse pas 1 à 2%. Il est tout aussi envisageable d’enrichir une crème pour les fesses avec des huiles essentielles ou de formuler des huiles de bains aromatiques aux vertus reposantes pour le bain de nos bébés. Toutefois, à moins de maîtriser parfaitement les huiles essentielles qu’on utilise, nous pensons qu’il est souhaitable de se tourner vers l’achat de produits finis de haute qualité (donc un peu plus onéreux !) spécialement développés pour les bébés.
A partir de 9 à 10 mois, on peut graduellement augmenter le panel d’huiles essentielles à appliquer sur l’enfant (toujours en massage, en diffusion ou sous forme de suppositoires). La concentration finale en huiles essentielles peut alors évoluer au besoin vers 5 à 6%
A partir de 3 ans on peut envisager avec grande parcimonie le mélange d’une ou deux gouttes de quelques rares huiles essentielles (ravintsara, eucalyptus radié, bois de rose) dans un support destiné à être ingéré.
Dès 6 ans enfin, il est possible d’initier des soins aromatiques par voie orale, à doses faibles mais efficaces. Le mieux est de privilégier l’ingestion de 1 à 3 capsules aromatiques molles par jour. Ces capsules sont prédosées et standardisées, n’ont pas d’odeur et peu de goût et ont l’avantage de contenir des synergies d’huiles essentielles bien étudiées pour leurs effets positifs et leur tolérance gastrique.
Les huiles essentielles ont-elles des effets secondaires et lesquels ?
L’aromathérapie n’est pas du tout une méthode douce.
Elle fait usage d’extraits super-concentrés qui peuvent occasionner une série d’effets secondaires s’il ne sont pas utilisés à bon escient par des personnes capables d’en maîtriser les propriétés et les toxicités.
Globalement on peut être confronté aux mêmes effets secondaires que ceux rencontrés suite à l’application de produits pharmaceutiques de synthèse : nausées, vomissement, diarrhée ou constipation, relents gastriques, ulcères gastriques.
Il faut savoir également que l’ingestion de fortes doses (supérieures à 500 mg / jour) de composés aromatiques phénolés sur une longue période (supérieure à 20 jours) peut créer un engorgement et une surcharge hépatique. Dès lors le thérapeute averti sait que les phénols aromatiques se prennent soit à haute dose durant maximum 7 jours ou à faible dose (moins de 200 mg / jour) durant maximum 20 jours, suivis d’une fenêtre thérapeutique d’une semaine entre les cures.
Nous avons en outre déjà évoqué les propriétés neurotoxiques et abortives des huiles essentielles riches en cétones terpéniques (hysope, thuja, sauge, ..). Ces huiles essentielles particulièrement délicates à utiliser sont par ailleurs réservées à l’usage exclusif de la pharmacie et ne peuvent théoriquement pas se trouver en vente libre.
Il faut également évoquer les dangers de photosensibilisation consécutifs à l’application cutanée - voire selon certains l’ingestion - d’essences aromatiques et d’huiles essentielles contenant des furocoumarines juste avant ou pendant une exposition au soleil. Ceci pourrait engendrer chez certains des réactions érythémateuses et même favoriser la carcinogenèse. Ce sont surtout les essences de zestes de Citrus (mandarine, citron, pamplemousse, orange douce, ...) qui sont à l’origine de ce type de photosensibilisation.
Certaines huiles essentielles sont dermocaustiques et ne peuvent s’appliquer sur la peau qu’à haute dilution (10, 5, 2%, voire moins !), sous peine d’occasionner des lésions parfois importantes (brûlures, ...). Certaines personnes développent des allergies aux huiles essentielles (eczéma, oedèmes cutanés, ....) et se voient donc contraintes à ne plus envisager de profiter des nombreux bienfaits des huiles essentielles suite à leur hypersensibilité.
Enfin, sachez qu’il est formellement interdit d’appliquer des huiles essentielles, même diluées, dans le conduit auditif, dans les yeux et dans les narines, et ce quel que soit l’âge ou le sexe.
Peut-on ingérer des huiles essentielles par voie interne ?
On ne peut répondre à cette importante question de manière catégorique « oui » ou « non ». La réponse la plus adaptée est certainement : « oui, certainement, mais avec beaucoup de prudence et de discernement ».
« Oui, certainement » car beaucoup d’huiles essentielles vont donner leur pleine mesure une fois ingérées.
Prenons l’exemple de l’huile essentielle d’origan à inflorescences compactes (Origanum compactum) : cette huile riche en phénols est l’archétype de l’extrait aromatique anti-infectieux à très large spectre, mais ses principes actifs sont dermo-caustiques et en limitent fortement l’application sur la peau. Dès lors l’huile essentielle d’Origanum compactum va bien mieux exercer son pouvoir antimicrobien une fois ingéré. Toutefois, la prudence est de rigueur quant aux doses ingérées et à la manière avec laquelle cette huile essentielle est administrée par voie orale. Les plus convaincus vont déposer deux à trois gouttes d’huile essentielle d’origan compact sur un quart de morceau de sucre et laisser fondre lentement sur la langue. Rapidement un picotement plus ou moins aigu va se manifester dans la cavité buccale et dans la gorge, signature olfactive et physiologique des phénols présents dans cette huile essentielle. Dans les minutes qui suivent il n’en paraîtra plus rien mais « il faut pouvoir le supporter ».
Qu’à cela ne tienne, il existe bien d’autres manières moins directes d’administrer des huiles essentielles par voie orale :
on peut les diluer dans des huiles végétales (vierges ou BIO de préférence), dans du miel, du sirop d’érable, on peut les faire adsorber sur des comprimés de charbon de bois ou de lactose, et enfin, on peut privilégier l’ingestion de capsules aromatiques contenant des huiles essentielles uniques ou en mélange, sous forme prédosée, standardisée, et offrant toutes les garanties d’efficacité et de sécurité d’emploi.
Quelles sont les huiles essentielles qu’on peut utiliser par voie interne ?
Ici aussi la réponse ne tient pas en un mot et demande quelque développement.
Les huiles essentielles sont composées de molécules appartenant à des groupes biochimiques différents (on peut citer les phénols, les mono terpènes, les esters terpéniques, les sesquiterpènes, etc., ....).
Ces groupes de molécules possèdent des profils toxicologiques particuliers et leur présence relative dans les huiles essentielles détermine le profil toxicologique de ces dernières. Si on se base sur ces informations il est possible d’édicter quelques principes de base qu’il est bon de respecter systématiquement :
a) N’administrer des huiles essentielles contenant des cétones QUE suite à une prescription d’un thérapeute expérimenté. Les cétones (comme la thujone de la sauge, la fenchone de la lavande stoechade ou la pinocamphone de l’hysope) sont neurotoxiques ET abortives et ces effets négatifs sont exacerbés par leur prise orale.
b) Envisager la prise orale d’huiles essentielles à phénols (thym, origan, sarriette, ...) ou à aldéhydes aromatiques (cannelles) avec grande prudence. Privilégier une dilution importante dans des vecteurs spécifiques (miel, huile végétale, capsules molles, ...)
c) Ne jamais excéder 4 ou 5 gouttes d’huiles essentielles pures par ingestion, et privilégier leur inclusion dans un support approprié (voir ci-dessus)
Pour terminer, voici une liste non exhaustive d’huiles essentielles particulièrement utiles lorsqu’elles sont ingérées par voie orale et qui sont d’une bonne tolérance orale et gastrique : Thym à thujanol, Tea tree, Eucalyptus radiata, Ravintsara, Menthe poivrée (1 à 2 gouttes maximum !), Citron, Mandarine, Basilic, Thym à linalol, Laurier noble et clou de girofle (1 goutte localement pour les problèmes de bouche)
Précautions d’emploi
Les huiles essentielles sont à manipuler avec une grande prudence.
Ces extraits végétaux sont les plus puissants du règne végétal. Veuillez prendre connaissance des précautions d’usage pour les utiliser à bon escient :
- Tenir hors de portée des enfants.
- Eviter le contact des yeux. En cas de projection accidentelle avec les yeux, rincer abondamment l’oeil sous un jet faible d’eau courante pour expulser le corps étranger puis passer un coton d’huile végétale pour adoucir.
- Ne jamais mettre des huiles essentielles pures dans le nez, dans les oreilles ou sur les muqueuses ano-génitales.
- Eviter l’utilisation des huiles essentielles pendant les trois premiers mois de la grossesse.
- L’utilisation d’huiles essentielles pendant la grossesse et pour la femme allaitant requiert l’avis d’un aromathérapeute avisé.
En cas d’hypersensibilité ou de terrain allergique, tester l’huile essentielle avant utilisation :
- placer 1 à 2 gouttes de l’huile essentielle sélectionnée dans le pli du coude,
- patienter 10 minutes,
- constater une éventuelle réaction cutanée - Ne pas s’exposer au soleil après une application d’huile essentielle contenant des furocoumarines (HE expressées des zestes d’agrume : citron, mandarine, orange douce, etc.). Ces huiles essentielles sont photo-sensibilisantes et augmente fortement le risque de coups de soleil et brûlures.
- Les huiles essentielles phénolées ou riche en aldéhydes sont dermocaustiques (agressives pour la peau) et doivent être diluées dans une huile végétale dans une proportion de 85% d’huile végétale pour 15% d’huile essentielle.
- L’utilisation des huiles essentielles en voie interne requiert l’avis d’un professionnel. En cas d’ingestion accidentelle : ingérer de l’huile végétale et contacter un centre anti-poison.
- Les huiles essentielles ne sont pas solubles dans l’eau. Pour un bain aromatique, utiliser un dispersant naturel adéquat en quantité 4 fois supérieur à la quantité d’huile essentielle. Ne pas dépasser 10 gouttes d’huile essentielle par 100 litres d’eau.
- L’injection intramusculaire des huiles essentielles est dangereuse et proscrite.
textes et informations de Pranarom
Avec l’initiation à l’aromathérapie familiale, votre formatrice vous guidera et vous donnera les informations nécessaires par une approche simple et efficace, avec de nombreux exemples d’application.
Vous aurez la possibilité de sentir les essences, de les toucher et de les comprendre, suivant une classification bien précise.
Pas à pas, vous avancerez vers cette nouvelle alternative de soins naturels avec facilité et pourrez très vite en profiter et faire profiter vos proches.
Charte de qualité
Label HECT
Les Huiles Essentielles chémotypées: VOTRE GARANTIE DE SÉCURITÉ ET D’EFFICACITÉ
Le label HECT vous garantit:
*une plante distillée botaniquement certifiée
*une partie distillée de la plante spécifiée
*un chémotype défini
*une distillation à la vapeur d’eau de qualité
Ce label vous assure une huile essentielle:
100% NATURELLE, non dénaturée par des composants synthétiques, par des huiles ni par des essences minérales;
100% PURE, non coupée avec d’autres huiles essentielles, huiles grasses ou alcools;
100% TOTALE, non décolorée, non peroxydée, non déterpénée et non rectifiée.
Pranarôm International soucieux de vous offrir une qualité optimale a adopté la charte qualité suivante.
Nous optons prioritairement pour des matières premières certifiées biologiques et, à défaut, pour des matières végétales sauvages récoltées sur des sites non traités.
Nous procédons à la double analyse de tous nos lots d’huiles essentielles ; à savoir une analyse par chromatographie en phase gazeuse faite en interne et une analyse par chromatographie et spectrométrie de masse réalisée par un laboratoire indépendant.
Ces analyses sont effectuées en tenant compte de la Pharmacopée Européenne, des normes AFNOR et de normes internes strictes.
Nous garantissons l’utilisation d’ingrédients sans OGM (organisme génétiquement modifié).
L’archivage des informations concernant les huiles essentielles depuis la matière première jusqu’aux produits finis permet une excellente traçabilité. Il existe une fiche technique et un échantillon pour chaque lot d’huile essentielle, pour chacune des synergies d’huiles essentielles fabriquées chez Pranarôm ainsi que pour chacun des produits finis (huile de massage, shampoing...)
Notre production suit la procédure des normes HACCP (Hazard Analyze of Critical Control Point). Ces normes impliquent une traçabilité et un autocontrôle des produits finis (contrôle bactériologique, chromatographie...).
Toutes nos capsules sont fabriquées et contrôlées selon les bonnes pratiques de fabrication (GMP: good manufacturing practice) et de laboratoire (BPL).
La gélatine des capsules est certifiée d’origine marine ou d’origine végétale.
Tous nos produits sont notifiés auprès du Ministère Belge de la Santé.
LES SUBSTANCES INDÉSIRABLES DANS LES PRODUITS POUR LES SOINS DE LA PEAU.
LES HUILES MINÉRALES ET LES DÉRIVÉS PÉTROCHIMIQUES
Exemple : la paraffine.
Ces ingrédients issus du pétrole ne sont pas assimilés par notre peau.
Ils créent un film en surface empêchant la peau de respirer.
Ils peuvent créer des irritations cutanées,
Noms portés sur les emballages
Paraffinum liquidum, petrolatum, microcristàllïn, wax, ozobkéritê...
LES HUILES DE SILICONE ET DÉRIVÉS !
Exemple : le dimethicone
Elles ont le défaut d’être très peu biodégradables donc nocives pour l’environnement et indirectement pour notre santé.
Noms portés sur les emballages
Dimethicone, cyclomethicone, cyclopentasiloxane, cyclohexasiloxane, dimethiconol, dimethicone copolyol, PEG-12 dimethicone...
EMULSIONNANTS INDESIRABLES
Exemple: Les PEG
En cosmétique, ils permettent aux fabricants de garder mélangés les ingrédients entre eux.
De plus les PEG sont obtenus par éthoxylation, c’est à dire qu’ils ont obtenus par des gaz qui servent également à faire des armes chimiques.
Ce produit est utilisé pour refroidir le moteur des voitures.
Noms portés sur les emballages
Les PEG (polyethylène glycol) et PPG (polypropylene glycol), Laureth-7, Ceteareth-20.....
AGENTS MOUSSANTS IRRITANTS.
Exemple : le sodium Laureth sulfate.
Ils sont très agressifs, responsables d’irritations cutanées et allergiques au niveau de la peau, du cuir chevelu, des yeux et des muqueuses.
Noms portés sur les emballages
Sodium laureth.sulfate.
CONSERVATEUR INDESIRABLES
Exemple: Les parabens, Le phénoxyethanol.
Ils sont suspectés d’être à l’origine de certaines maladies.
Noms portés sur les emballages
Methylparaben, Ethylparaben, Chlorophénisen, Propylparaben, Butylparaben, Isobutylparaben, Chloroisothiazolinone, BHT (butylthydroxytoluène), Phénoxyéthanol (éther de glycol)....
COMPOSANTS DES PARFUMS
Exemple : les muscs synthétiques et les phtalates.
Les muscs synthétiques, amplificateurs de parfum, peuvent se concentrer dans les tissus et interférer avec le système hormonal.
Les phtalates, utilisés comme solvant ou pour dénaturer l’alcool dans les parfums, sont considérés: comme toxiques.
Ces substances ne sont pas indiquées sur les emballages
texte Pranarom